I think keeping prudential and credit supervision at a national level, that is in the central banks, is more and more questionable, especially when – as is the case in Italy – the same institution, the central bank, not only deals with prudential supervision but also takes on antitrust functions in the credit market, thus creating a conflict of interests that does not encourage market efficiency.
Je crois que la pérennité de la surveillance prudentielle et du crédit au niveau national, c'est-à-dire des banques centrales, est de plus en plus discutable, et encore plus quand - comme dans le cas de l'Italie - on ajoute à la surveillance prudentielle dans le même institut, la banque centrale, la fonction d'antitrust sur le marché du crédit, en créant un conflit d'intérêts qui ne favorise pas l'efficacité des marchés.