La République fédérale d'Allemagne, qui avait voté contre cette directive au Conseil, estime que les valeurs limites applicables en Allemagne pour le plomb, le baryum, l'antimoine, l'arsenic et le mercure, qui correspondent au surplus à l'ancienne directive de 1988 , offrent une meilleure protection, si bien qu'elle a demandé à la Commission l'autorisation de les conserver.
Deutschland, das im Rat gegen diese Richtlinie gestimmt hatte, ist der Ansicht, dass die in Deutschland geltenden Grenzwerte für Blei, Barium, Antimon, Arsen und Quecksilber, die im Übrigen der alten Richtlinie von 1988 entsprechen, einen höheren Schutz böten, und hat bei der Kommission beantragt, diese Grenzwerte beibehalten zu dürfen.