Il s'agit là d'une des questions qui ont trouvé le moins d'écho, les États membres estimant généralement qu'en donnant simplement accès à la base de données d'Interpol, que ce soit directement ou indirectement, à leurs services répressifs, ils «font en sorte» que cette précieuse source d'informations soit effectivement exploitée.
Diese Verpflichtung gehört zu denjenigen, denen die Mitgliedstaaten am wenigsten Rechnung getragen haben; es herrscht die Haltung vor, dass allein dadurch, dass sie ihren Strafverfolgungsbehörden direkt oder indirekt Zugang zu der Interpol-Datenbank gewähren, „sicherstellen“, dass diese wertvolle Informationsquelle tatsächlich genutzt wird.