À cet égard, l'avocat général rappelle que le traité CE prévoit qu'un accord bilatéral tel que la convention de 1976 d
oit être interprété conformément au droit communautaire, mais seulement si son texte est ambigu, et s'il se prête donc à être lu en harmonie avec le
droit communautaire "sans interprétation forcée"; il souligne par ailleurs qu'il appartie
nt à la juridiction nationale de dire si une tell ...[+++]e possibilité existe, parce qu'elle seule est compétente pour interpréter des conventions bilatérales qui lient les États membres en dehors du cadre du droit communautaire.
In diesem Zusammenhang weist der Generalanwalt darauf hin, dass der EG-Vertrag bestimme, dass ein bilateraler Vertrag wie die Übereinkunft von 1976 gemeinschaftsrechtskonform auszulegen sei - jedoch nur dann, wenn der Wortlaut des bilateralen Vertrages mehrdeutig sei -, und in Einklang mit dem Gemeinschaftsrecht, ohne "überzogene Auslegung", aufgefasst werden müsse. Ferner erklärt er, dass es Sache des nationalen Gerichts sei, zu prüfen, ob eine solche Möglichkeit bestehe, da ausschließlich dieses dafür zuständig sei, bilaterale Übereinkünfte auszulegen, die die Mitgliedstaaten bänden, aber nicht unter das Gemeinschaftsrecht fielen.