J’aimerais quelque peu m’attarder sur ce point. En effet, il me semble quelque peu partial de se réjouir de la réouverture des frontières tibétaines aux touristes étrangers sans mentionner les autres faits, comme les condamnations, les procès publics, la militarisation de Lhassa au moment du passage de la flamme olympique, le déni permanent des libertés ou encore la poursuite des actes de torture.
Ich möchte gern etwas dazu sagen, weil sonst – wenn die Tatsache begrüßt wird, dass ausländische Touristen wieder zugelassen werden, ohne ein Wort über all die Geschehnisse, die Verurteilungen, die öffentlichen Prozesse, die Militarisierung Lhasas anlässlich des Durchzugs der Olympischen Fackel, die immer noch verwehrten Freiheiten oder die praktizierten Foltermethoden zu verlieren – das Problem ziemlich einseitig angegangen wird.