Il a été observé à ce sujet à la commission du Sénat (ibid. ) que cela modifierait la situation juridique qui existait sur la base de l'article 1 de la loi du 28 juin 1983 « portant l'organisation, la compétence et le fonctionnement de la Cour d'arbitrage », selon lequel le Conseil des ministres, l'« Exécutif » d'une communauté ou d'une région et les présidents des assemblées législatives, à la demande de deux tiers de leurs membres, pouvaient introduire un recours en annulation pour cause de violation des règles répartitrices de compétences, sans devoir justifier d'un quelconque intérêt (Doc. parl., Sénat, 1981-1982, n° 246/2, pp. 39, 50 et 103), « étant donné qu' ils agissent en vue de préserver les règles de compétence, qui sont d'ordre
...[+++]public » (Doc. parl., Chambre, 1982-1983, n° 647/4, p. 5).Diesbezüglich wurde im Senatsausschuss (ebenda) bemerkt, dass dies die Rechtslage ändern würde, die auf der Grundlage von Artikel 1 des Gesetzes vom 28. Juni 1983 « über die Organisation, die Zuständigkeit und die Arbeitsweise des Schiedshofes » bestand und wonach der Ministerrat, die « Exekutive » einer Gemeinschaft oder einer Region und die Präsidenten der gesetzgebenden Versammlungen auf Antrag von zwei Dritteln ihrer Mitglieder eine Nichtigkeitsklage wegen Verstosses gegen die Regeln der Zuständigkeitsverteilung einreichen konnten, ohne irgendein Interesse nachweisen zu müssen (Parl. Dok., Senat, 1981-1982, Nr. 246/2, SS. 39, 50 und 103), « da sie zur Wahrung der zur öffentlichen Ordnung gehörenden Zuständigkeitsregeln handeln » (Parl.
...[+++]Dok., Kammer, 1982-1983, Nr. 647/4, S. 5).