25. invite le Conseil à examiner les options en ce qui concerne la création d'une "force de riposte pour la sécurité humaine" intégrée civile et militaire,, qui serait chargée d'opérations de sécurité humaine et composée de quelque 15 000 membres, dont un tiers au moins seraient des spécialistes civils (notamment des officiers de police, des observateurs des droits de l'homme, des spécialistes et administrateurs du dé
veloppement et de l'action humanitaire); considère qu'une telle force, faisant fond sur des structures préexistantes de la PESD, pourrait être constituée en puisant dans les troupes spécialisées et les capacités civiles déj
...[+++]à mises à disposition par les États membres comme les capacités prévues dans le contexte des objectifs prioritaires civils et militaires, des groupes de combat et des équipes d'intervention civile), et pourrait également inclure un service volontaire de sécurité humanitaire combinant un corps de paix civil et le corps volontaire européen d'aide humanitaire envisagé dans le traité de Lisbonne; 25. fordert den Rat auf, Möglichkeiten zur Einrichtung einer integrierten zivilen und militärischen Eingreiftruppe zur menschlichen Sicherheit („Human Security Response Force“) zu prüfen,
die Operationen im Bereich der menschlichen Sicherheit durchführen und etwa 15 000 Mitarbeiter umfassen würde, von denen zumindest ein Drittel zivile Fachleute (Polizisten, Menschenrechtsbeobachter, Experten und Verwaltungsfachleute
für Entwicklung und humanitäre Hilfe) wären; vertritt die Auffassung, dass diese Truppe, aufbauend auf bereits bestehe
...[+++]nden ESVP-Strukturen, aus zugewiesenen Truppen und zivilen Fähigkeiten gebildet werden könnte, die bereits von den Mitgliedstaaten zur Verfügung gestellt wurden (etwa aus den im Rahmen der Zivilen und Militärischen Planziele, der Battle Groups und der Zivilen Krisenreaktionsteams bereits vorhandenen Fähigkeiten), und dass sie auch einen Freiwilligendienst für humanitäre Sicherheit („Humanitarian Security Volunteer Service“) umfassen könnte, der ein Ziviles Friedenskorps, wie es vom Parlament vorgeschlagen wird, mit dem Europäischen Freiwilligenkorps für humanitäre Hilfe, wie es im Vertrag von Lissabon vorgesehen ist, verbinden würde;