M. considérant que la majorité des investissements étrangers récents en Birmanie empruntent le canal de sociétés soutenues par les militaires et que la Fédération internationale des syndicats des travailleurs de la chimie, de l'énergie et des mines a demandé aux sociétés d'extraction pétrolière et gazière de suspendre leurs investissements en Birmanie tant que perdurera le recours au travail forcé,
M. in der Erwägung, dass die neuen Auslandsinvestitionen in Myanmar zumeist von durch das Militär unterstützten Firmen getätigt werden und dass die Internationale Föderation der Gewerkschaften der Bereiche Chemie, Energie und Bergbau die Öl- und Gasunternehmen aufgefordert hat, keine weiteren Investitionen in Myanmar zu tätigen, solange noch Zwangsarbeit praktiziert wird,