À mon sens, M. Purvis a mis le doigt sur l’essentiel en indiquant que l’ironie suprême de cette crise financière était que le secteur qui s’est engouffré dans ces terribles difficultés, nous entraînant tous dans son sillage, est le secteur le plus réglementé, et que les activités des fonds alternatifs ou des fonds de capital-investissement ne sont en rien responsables de ces problèmes.
Ich danke Herrn Purvis dafür, dass er sich auf der Höhe der Zeit zeigte, als er auf die Tatsache verwies, dass das besondere Paradox dieser Finanzkrise darin besteht, dass es der am stärksten regulierte Sektor, nämlich der Bankensektor, war, der sich selbst und uns alle in erhebliche Schwierigkeiten brachte, nicht jedoch die Aktivitäten von Hedge-Fonds oder Private Equity.