L’expression de cette volonté politique est d’autant plus entravée que l’offre des substances illicites exige plus, encore plus, alors que - comme on vient de l’entendre - le chiffre d’affaires du secteur s’élève à un milliard d’euros. Ce chiffre d'affaires est bien plus élevé, extrêmement plus élevé si l’on considère le dopage léger qui gagne progressivement du terrain dans les salles de gymnastique, dans les instituts de beauté, et je ne sais où encore.
Und noch schwieriger wird es, wenn angesichts des Angebots an verbotenen Substanzen noch mehr notwendig ist, viel mehr notwendig ist, bei einem Umsatz von, wie wir gehört haben, einer Milliarde Euro, der noch viel größer ist, noch unendlich viel größer, wenn wir zusätzlich die minder schweren Formen des Doping in Betracht ziehen, die zunehmend in Fitness-Studios, Schönheitszentren und sonst wo um sich greifen.