Les révélations récentes au sujet du réseau international de trafic d’antiquités à Skinousa (Grèce), une de ses bases, ont révélé au grand jour la complicité de maisons de commerce internationales et de collectionneurs (chiffre d’affaires de quatre milliards de dollars l’an) ainsi que les responsabilités écrasantes de gouvernements et de musées, qui fournissent une couverture pour «régulariser» des trésors archéologiques volés, dans le seul but du lucre, destruction de témoins de l’histoire et de monuments culturels à l’appui.
The recent exposure of an international network of antiquities traffickers at one of its bases at Schinousa in Greece revealed the complicity of international trading houses and collectors, turning over 4 billion dollars a year, and the extent to which governments and museums are responsible for providing cover for the 'legalisation' of stolen archaeological treasures for the sole purpose of making a profit while destroying historic remnants and cultural monuments.