Certains partis gouvernementaux (socialiste, démocrate-chrétien et radical) ont alors demandé une dépénalisation de l’usage de drogue, l’accroissement du traitement avec prescription d’héroïne, le renforcement des mesures de prévention et le durcissement des peines à l’égard de ceux qui font le trafic de stupéfiants.[13] La scène ouverte de la drogue à Zurich a été fermée en 1995.[14] Cette fermeture a amené la naissance d’une nouvelle collaboration entre le Conseil fédéral, les représentants du canton et de la ville de Zurich.
Certain government parties (Socialist, Christian Democrat and Radical) clamoured for decriminalization of drug use, increased access to heroin-assisted treatment, stronger prevention measures and stiffer sentences for drug traffickers.[141]The open drug scene in Zurich was shut down in 1995,[142] resulting in new co-operation between the Federal Council, canton representatives and the city of Zurich.