17. déplore les retards constatés dans la sélection des projets dans des domaines stratégiques tels que le secteur ferroviaire, certains investissements énergétiques et environnementaux, l'économie numérique, l'inclusion sociale, la gouvernance et le développement des capacités, et appelle de ses vœux une analyse complète des causes de ces retards, en invitant les États membres à associer les régions à un meilleur contrôle des secteurs où il convient de redoubler d'efforts; souligne par ailleurs la vitesse d'absorption accrue des projets environnementaux dans les programmes européens de coopération territoriale, et met l'accent sur la valeur ajoutée manifeste de la coopération dans ce cadre; souligne toutefois que les États membres ont pe
...[+++]ut-être déjà rattrapé le retard qu'ils avaient dans certains domaines dans l'exécution des projets, de sorte qu'un arriéré constaté à ce stade particulier ne doit pas être un indicateur de la qualité globale de la période de programmation; souligne à cet égard l'accélération des capacités d'absorption et de l'exécution du budget au titre de la politique de cohésion en 2010, ce qui est dû, entre autres, aux modifications récemment apportées aux dispositions législatives et réglementaires et au fait que les programmes opérationnels ont enfin atteint leur vitesse de croisière, une fois les derniers systèmes de gestion et de contrôle définitivement approuvés par la Commission; 17. bedauert die Verzögerungen bei der Projektauswahl in strategischen Bereichen, wie etwa im Eisenbahnsektor, bei bestimmten Energie- und Umweltinvestitionen, in der digitalen Wirtschaft, bei der sozialen Integration sowie bei der Governance und beim Kapazitätsaufbau, und fordert eine gründliche Untersuchu
ng der Ursachen für diese Verzögerungen; empfiehlt den Mitgliedstaaten, ihre Regionen in die bessere Überwachung von Bereichen einzubeziehen, in denen die Bemühungen verstärkt werden müssen; betont andererseits die höhere Absorptionsrate von Umweltprojekten in den Programmen im Bereich „Europäische Territoriale Zusammenarbeit“ und we
...[+++]ist auf den eindeutigen zusätzlichen Nutzen von Zusammenarbeit in diesem Zusammenhang hin; betont allerdings, dass die Mitgliedstaaten, die Verzögerungen bei der Ausführung aufwiesen, diese unter Umständen schon aufgeholt haben und somit ein Rückstand in dieser Phase kein Indikator für die Gesamtqualität der Förderperiode sein muss; begrüßt die Verbesserung der Aufnahmekapazitäten und Ausführungsraten im Rahmen der Kohäsionspolitik während des Jahres 2010, die unter anderem auf kürzlich vorgenommene legislative Änderungen und darauf zurückzuführen ist, dass die operationellen Programme endlich im vorgesehenen Umfang funktionieren, nachdem die Kommission schließlich die letzten Verwaltungs- und Kontrollsysteme gebilligt hat;