En effet, le recours à l'action pénale doit être circonscrit aux cas de sexisme les plus graves, au contraire du système civil qui s'étend aux hypothèses où l'acte sanctionné est pourvu d'effets dégradants sans pour autant qu'il soit animé d'une réelle intention de nuire » (Doc. parl., Chambre, 2013-2014, DOC 53-3297/001, p. 7).
Die Inanspruchnahme der Strafverfolgung muss auf die schwersten Fälle von Sexismus begrenzt werden, im Gegensatz zum zivilrechtlichen System, das sich auf die Fälle erstreckt, in denen das bestrafte Verhalten eine erniedrigende Wirkung hat, ohne dass ihm eine tatsächliche Absicht zu schaden zugrunde liegt » (Parl. Dok., Kammer, 2013-2014, DOC 53-3297/001, S. 7).