We are familiar with the demerits of high-volume, utilitarian, repetitive urban development (such as rows of high-rise blocks): the loss of local identity and a poor quality of life that destroys social cohesion and promotes exclusion and crime.
On connaît les méfaits d'un urbanisme purement quantitatif, utilitaire, répétitif (immeubles "barres"): la dépersonnalisation de tant de quartiers et un "mal vivre" destructeur de la cohésion sociale, source d'exclusion et de délinquance.