Cette interprétation trouve un appui dans les travaux préparatoires cités en B.115.2, qui soulignent que le délai de conservation ne s'étend en principe « pas au-delà » de cinq ou de quinze ans, ainsi que dans les travaux préparatoires reproduits en B.112.2, qui concernent les règles relatives à la conservation des données dans les banques de données policières en général.
Diese Auslegung wird durch die in B.115.2 zitierten Vorarbeiten unterstützt, in denen hervorgehoben wird, dass die Aufbewahrungsfrist grundsätzlich « nicht mehr als » fünf Jahre oder fünfzehn Jahre beträgt, sowie durch die in B.112.2 zitierten Vorarbeiten, die sich auf die Regeln bezüglich der Aufbewahrung von Daten in den polizeilichen Datenbanken im Allgemeinen beziehen.