L'impossibilité pour le juge de prendre une telle décision lorsqu'un crime succède à une condamnation à une peine correctionnelle fut justifiée par le fait que ' la peine criminelle [...] est pourvue d'une force suffisante et laisse au juge assez de latitude pour satisfaire à tous les besoins d'aggravation que cette récidive a fait surgir ', l' ' inefficacité de la première condamnation trouv [ant] alors son remède dans la sévérité nécessaire de la deuxième ' (Doc. parl., Chambre, 1850-1851, n° 245, pp. 41-42).
Die Unmöglichkeit für den Richter, eine solche Entscheidung zu treffen, wenn ein Verbrechen auf eine Verurteilung zu einer Korrektionalstrafe folgt, wird dadurch gerechtfertigt, dass ' die Kriminalstrafe [...] ausreichend schwer ist und dem Richter genügend Spielraum lässt, um alle Bedürfnisse der Erschwerung zu decken, die durch diese Rückfälligkeit entstehen ', wobei ' der Ineffizienz der ersten Verurteilung dann durch die notwendige Strenge der zweiten abgeholfen wird ' (Parl. Dok., Kammer, 1850-1851, Nr. 245, SS. 41-42).