M. FISCHLER a évoqué l'"accord de Florence", obtenu au niveau des chefs d'État et de gouvernement, accord envisageant clairement une levée de l'interdiction d'exporter les viandes bovines britanniques, à condition d'adopter une approche très progressive fondée sur des bases scientifiques. Les États membres, a-t-il déclaré, doivent honorer l'engagement pris à cette occasion.
Er verwies in diesem Zusammenhang auf die "Vereinbarung von Florenz", die auf Ebene der Staats- und Regierungschefs mit dem Ziel getroffen worden sei, das Ausfuhrverbot für britisches Rindfleisch auf wissenschaftlicher Grundlage schrittweise aufzuheben. Die Mitgliedstaaten seien verpflichtet, dieses Engagement zu honorieren.