Dans le cas particulier des prestations en espèces telles que les pensions sociales, les allocations d’invalidité et les allocations de chômage à caractère non contributif financées par l’impôt plutôt que par les contributions individuelles (dites «prestations spéciales en espèces à caractère non contributif»), l’étude montre que les personnes non actives venant d’autres États membres représentent une très faible part des bénéficiaires et que l’incidence de ces demandes de prestations sur les budgets sociaux nationaux est insignifiante.
Im speziellen Fall von Geldleistungen, wie etwa Sozialrenten, Invaliditätsbeihilfen und Beihilfen für Arbeitsuchende, die nicht durch die Beiträge der betreffenden Person, sondern aus dem allgemeinen Steueraufkommen finanziert werden (sogenannte besondere beitragsunabhängige Geldleistungen), belegt die Studie, dass nicht erwerbstätige mobile EU-Bürger/-innen nur einen sehr geringen Prozentsatz der Empfänger ausmachen und die finanziellen Auswirkungen solcher Ansprüche auf die nationalen Sozialhaushalte äußerst gering sind.