Étant donné qu'il pourrait s'avérer excessivement difficile, du point de vue politique, d'appliquer la méthode communautaire pour l'évaluation et la suspension, ce qui serait pourtant souhaitable, ne serait-il pas préférable de donner la priorité au contenu européen en engageant des procédures d'infraction, lorsque cela s'avère nécessaire, contre les États membres qui ne respectent pas les règles de Schengen?
Sollte nicht besser, da es politisch nur schwer durchsetzbar ist, gleichermaßen bei Bewertung und Aussetzung die Gemeinschaftsmethode anzuwenden, wie zweckmäßig dies auch immer wäre, die europäische Substanz Priorität genießen und in diesem Sinne ggf. ein Vertragsverletzungsverfahren gegen einen Mitgliedstaat eingeleitet werden, der gegen die Schengen-Bestimmungen verstößt?