Il ressort également des travaux préparatoires relatifs à ladite norme que le délai de dix jours accordé à la personne ou la personne morale intéressée, en vertu de l'article 37, § 5, du décret, pour faire valoir ses arguments contraires auprès de l'autorité de régulation, lorsqu'elle n'est pas d'accord avec la peine imposée aux termes du § 2, permet tout au plus d'éviter les fautes techniques, telles que le mauvais comptage de certificats, sans que cela puisse avoir pour effet d'attribuer un quelconque pouvoir d'appréciation à l'autorité de régulation (Doc. parl., Parlement flamand, 1999-2000, n° 285/1, p. 29).
Aus den Vorarbeiten zu dieser Norm ergibt sich jedoch, dass die zehntägige Frist, die aufgrund von Artikel 37, § 5 des Dekrets der betroffenen Person oder juristischen Person gewährt wird, um ihre Gegenargumente bei der Regulierungsinstanz geltend zu machen, falls sie nicht mit der aufgrund von § 2 auferlegten Sanktion einverstanden ist, es höchstens ermöglicht, technische Fehler zu verhindern, wie ein falsches Zählen der Zertifikate, ohne dass sich daraus für die Regulierungsinstanz irgendeine Beurteilungsbefugnis ergibt (Parl. Dok., Flämisches Parlament, 1999-2000, Nr. 285/1, S. 29).