Durant les deux années de travaux dans le tunnel, le transport de fret ferroviaire n'a pas augmenté ; il stagne à 10,5 millions de tonnes par an, alors que les capacités ferroviaires existent et que les 13,5 millions de tonnes qui transitent annuellement par le tunnel du Mont-Blanc auraient pu être absorbées par le rail, si l'on avait doublé la capacité de transit par le Mont-Cenis, par l'axe du sud du Léman et par l'axe Dijon-Valorme.
Während der zweijährigen Bauarbeiten im Tunnel hat der Eisenbahngüterverkehr nicht zugenommen; er stagniert bei 10,5 Millionen Tonnen jährlich, während noch Eisenbahnkapazitäten vorhanden sind, und die 13,5 Mio. Tonnen, die jährlich durch den Mont-Blanc-Tunnel rollen, hätten durch die Schiene übernommen werden können, wenn man die Transitkapazität durch den Mont-Cenis-Bahntunnel, über die Trasse südlich des Genfer Sees und die Strecke Dijon-Valorme verdoppelt hätte.