En dernier lieu, l’avocat général considère que, dans l’hypothèse où la suppression d’une clause abusive rendrait, comme en l’espèce, le contrat inexécutable, la directive ne s’oppose pas à ce que le juge national substitue la clause incriminée par une disposition de droit national à caractère supplétif, lorsqu’une telle substitution est possible en vertu du droit national.
Schließlich legt der Generalanwalt dar, dass dann, wenn die Ungültigkeit einer missbräuchlichen Klausel – wie im vorliegenden Fall – den Vertrag undurchführbar werden ließe, es der Richtlinie nicht zuwiderläuft, dass das nationale Gericht die unwirksame Klausel durch eine dispositive Bestimmung des nationalen Rechts ersetzt, wenn eine solche Ersetzung nach dem nationalen Recht möglich ist.