Le Conseil européen, dans le «Programme de Sto
ckholm — une Europe ouverte et sûre qui sert et protège les citoyens»[1], appelait Europol à évoluer et à «devenir le centre névralgique de l'échange d'informations entre les services répressifs des États membres et [à] jouer le rôle de prestataire de services et de plate-forme pour les services répressifs», et l’i
nvitait à mettre en place des programmes de formation et des programmes d’échange européens à l’intention de tous les professionnels concernés des services répressifs tant au niv
...[+++]eau national qu’au niveau de l’Union, le CEPOL devant jouer un rôle clé pour garantir cette dimension européenne.
Der Europäische Rat hat sich im Stockholmer Programm[1] dafür ausgesprochen, dass Europol „zu einem Knotenpunkt des Informationsaustauschs zwischen den Strafverfolgungsbehörden der Mitgliedstaaten, einem Diensteanbieter und einer Plattform für Strafverfolgungsdienste werden“ sollte, dass auf nationaler Ebene und auf EU-Ebene europäische Aus- und Fortbildungs- sowie Austauschprogramme für das entsprechende Personal von Strafverfolgungsbehörden aufgelegt werden sollten, und dass die CEPOL dabei eine zentrale Rolle übernehmen sollte, damit sichergestellt wird, dass die Aus- und Fortbildungsmaßnahmen eine europäische Dimension aufweisen.