Elle justifie cette restriction en faisant valoir qu’une partie des fonctions de commandant (autorisation de célébrer un mariage en cas de danger de mort à bord, enregistrement de nouveau-nés, surveillance de la valise diplomatique etc.) l’investissent de la condition d’ ” autorité ”, interprétation qui me paraît archaïque et peu compatible avec le droit communautaire.
Sie begründet diese Einschränkung damit, dass ein Teil der Aufgaben des Piloten (Genehmigung zur Trauung an Bord, wenn Lebensgefahr besteht, Beurkundung von Geburten, Verwahrung von diplomatischem Gepäck, usw.) die Ausübung „hoheitlicher Gewalt“ beinhaltet, eine Auslegung, die meines Erachtens veraltet und unvereinbar mit dem Gemeinschaftsrecht ist.