L'appelant estime dès lors être discriminé par l'ancien article 1288, 4, du Code judiciaire qui, au moment où la convention préalable à son divorce par consentement mutuel a été établie, prévoyait seulement de fixer « le montant de la pension éventuelle à payer par l'un des époux à l'autre, pendant le temps des épreuves et après le divorce ».
Der Berufungskläger hält sich dann auch für diskriminiert aufgrund des früheren Artikels 1288 Nr. 4 des Gerichtsgesetzbuches, der, als der Vertrag im Rahmen seiner Scheidung im gegenseitigen Einverständnis abgeschlossen worden sei, nur die Festlegung des « Betrag[s] des eventuell von einem Ehegatten an den anderen Ehegatten während der Probezeit und nach der Scheidung zu zahlenden Unterhalts » vorgesehen habe.