Si le législateur a pu exiger que toute partie à la procédure transmette au greffe de la juridiction saisie les coordonnées d'une personne appelée à témoigner, lorsqu'elles sont en sa possession, afin de faciliter sa convocation par le greffe, il n'apparaît pas nécessaire, en revanche, d'imposer que ces coordonnées privées soient divulguées à l'autre partie lorsque cette dernière n'y a intérêt qu'afin de faire entendre cette personne comme témoin.
Obwohl der Gesetzgeber vorschreiben konnte, dass jede Verfahrenspartei der Kanzlei des befassten Rechtsprechungsorgans die Angaben zu einer Person, die als Zeuge aussagen sollte, übermittelt, wenn sie in ihrem Besitz ist, um deren Ladung durch die Kanzlei zu erleichtern, erweist es sich hingegen nicht als notwendig, vorzuschreiben, dass diese Privatangaben der anderen Partei mitgeteilt werden, wenn diese nur ein Interesse daran hat, diese Person als Zeuge vernehmen zu lassen.