La mesure litigieuse autorise la fertilisation de parcelles qui sont déjà saturées de phosphate, mais, d'une part, une dose initiale est censée justifiée (Doc., Conseil flamand, 1995-1996, n° 148-1, pp. 79-80 et 104, et ibidem, n° 148-3, p. 37 et annexe, p. 136) et, d'autre part, « la fertilisation de phosphate est limitée à un niveau inférieur à la norme de prélèvement[, qui fait référence à la quantité d'engrais que la végétation prélève elle-même du sol,] dans le but de retrouver progressivement un niveau de phosphore normal » (Doc., Conseil flamand, 1995-1996, n° 148-1, p. 16).
Die angefochtene Massnahme lässt eine Düngung von Parzellen zu, die bereits phosphatgesättigt sind, aber einerseits wird eine Anfangsdosis für gerechtfertigt gehalten (Dok., Flämischer Rat, 1995-1996, Nr. 148-1, SS. 79-80 und 104, und ebenda, Nr. 148-3, S. 37, und Anlage, S. 136), und andererseits « wird die Phosphatdüngung auf einen Wert begrenzt, der unter der Entnahmenorm liegt [die auf die Düngemittelmenge hindeutet, die dem Boden durch die Vegetation entzogen wird], womit eine langfristige Wiederherstellung eines normalen Phosphorgehalts angestrebt wird » (Dok., Flämischer Rat, 1995-1996, Nr. 148-1, S. 16).