C’est l’objectif premier, à savoi
r produire moins de déchets. Ensuite, l’idée est de récupérer et de recycler les déchets et, si ce n’est pas possible, les
déchets aboutiront dans des incinérateurs, avec de préférence une valorisation énergétique, ou dans des décharges propres. À propos des déch
arges - et c’est un problème qui intéresse particulièrement la Grèce -, je dois dire que nous en connaissons à peine le nombre; or, dans d
...[+++]e nombreux cas, elles constituent une source de contamination et portent préjudice à la qualité de vie des citoyens tout en posant des problèmes affectant la biodiversité et le changement climatique dans la mesure où elles dégagent du méthane, l’un des gaz qui contribuent à l’effet de serre.
Und was die Letzteren betrifft, so möchte ich dazu sagen, zumal Griechenland daran ein besonderes Interesse hat, dass wir nicht einmal wissen, wie viele Deponien es tatsächlich gibt, die oftmals selbst eine Verschmutzungsquelle darstellen und die Lebensqualität der Bürger beeinträchtigen und die zudem negative Auswirkungen in Bezug auf die biologische Vielfalt und die Klimaänderung haben, da in ihnen Methan freigesetzt wird, das zu den Gasen gehört, die zur Entstehung des Treibhauseffekts beitragen.