6. souligne que, si le mécanisme de mise en œuvre du protocole de Kyoto, selon lequel un pays qui dépasse son quota d'émissions autorisé au cours de la
première période d'engagement devra compenser ce dépassement au cours de la deuxième période est valable en théorie, il doit encore être testé; invite la Commission et les États membres à appliquer rigoureusement le mécanisme de mise en œuvre du protocole de Kyoto et à contribuer à créer un cadre ambitieux et glo
bal pour la période postérieure à 2012, grâce à des objectifs équitables,
...[+++] différenciés et justes; souligne qu'il est impératif que les États qui n'ont pas participé à la première période d'engagement s'associent à la deuxième et que l'on examine la possibilité de leur participation en fonction des circonstances nationales; estime qu'il conviendrait, dans la deuxième période d'engagement, de répartir les droits sur une base sectorielle, au moyen de critères établis à l'échelle internationale et avec la participation de tous les secteurs impliqués dans le commerce international, et de les combiner à terme à d'autres objectifs de répartition nationaux reflétant les principes de la répartition par habitant; 6. betont, dass der Durchsetzungsmechanismus für das Kyoto-Protokoll, bei dem ein Land, das seine genehmigten Emissionen im ersten Verpflichtungszeitraum übersch
reitet, die Differenz im zweiten Verpflichtungszeitraum ausgleichen muss, zwar in der Theorie gut ist, aber noch erprobt werden muss; fordert die Kommission und die Mitgliedstaaten auf, den Durchsetzungsmechanismus für das Kyoto-Protokoll rigoros anzuwenden und zur Schaffung eines ambitiösen und umfassenden Rahmens für den Zeitraum nach 2012 beizutragen, der die Verpflichtung auf ausgewogene, differenzierte und angemessene Zielvorgaben beinhaltet; unterstreicht, dass sich dieje
...[+++]nigen Staaten, die im ersten Verpflichtungszeitraum nicht teilgenommen haben, unbedingt im zweiten Verpflichtungszeitraum beteiligen müssen, und dass die mögliche Art ihrer Beteiligung entsprechend ihren jeweiligen nationalen Gegebenheiten geprüft werden muss; vertritt die Ansicht, dass im zweiten Verpflichtungszeitraum die Emissionszuteilung auf sektoraler Basis erfolgen sollte, und zwar mit Hilfe international anerkannter Bezugswerte (Benchmarks), die auch mit anderen nationalen Zuteilungsvorgaben kombiniert werden können, welche den Grundsätzen der Zuteilung auf einer Pro-Kopf-Basis Rechnung tragen;