Secundo, même si l’opt-out , qui permet aux États membres de s’écarter des dispositions en vigueur en matière de temps de travail, prendra fin à terme (3 ans), cela n’empêche pas les États membres qui en font la demande de préciser le temps de travail sur la base de contrats individuels et de contourner, ce faisant, les garanties sociales offertes par les accords négociés pendant trois ans.
Zweitens, auch wenn die Opt-out-Klausel, die es den Mitgliedstaaten gestattet, von den Arbeitszeitbestimmungen abzuweichen, irgendwann (in drei Jahren) ausläuft, hindert dies die Mitgliedstaaten, die dies wünschen, nicht daran, drei Jahre lang die Arbeitszeit auf der Grundlage individueller Arbeitsverträge zu regeln und so die sozialen Garantien von Tarifverträgen zu umgehen.