J'ai cité le cas de l'Italie, non seulement parce que le président le connaît fort bien, mais aussi parce que les données communautaires (Eurostat) révèlent qu'en Italie, les dépenses pour le welfare - act
uellement 25,9 pour cent - sont, depuis 1990, inférieures non seulement à la moyenne communautaire (28,2 pour
cent), mais aussi, et de beaucou
p, à la moyenne des pays considérés comme de bons élèves, comme l'All ...[+++]emagne (29,9 pour cent) et la France (30,8 pour cent).
Ich habe das Beispiel Italiens angeführt, nicht nur, weil der Kommissionspräsident bestens damit vertraut ist, sondern weil speziell die Gemeinschaftsstatistiken (Eurostat) erkennen lassen, daß in Italien die Ausgaben für den Sozialbereich – gegenwärtig 25,9 Prozent – seit 1990 nicht nur unter dem Gemeinschaftsdurchschnitt (28,2 Prozent), sondern auch deutlich unter dem Durchschnittswert der als vorbildlich geltenden Länder wie Deutschland (29,9 Prozent) und Frankreich (30,8 Prozent) liegen.