De surcroît, les exceptions, consacrées par l'arrêt CILFIT précité, à l'obligation de renvoi préjudiciel, dans le chef d'une juridiction nationale dont les décisions ne sont pas susceptibles de recours en droit interne, ne s'appliquent pas dans la même mesure dans le cadre du renvoi préjudiciel en validité (voy., à cet égard, CJCE, grande chambre, 6 décembre 2005, C-461/03, Gaston Schul Douane-expediteur BV, points 15-19).
Überdies gelten die im vorerwähnten Urteil CILFIT festgelegten Ausnahmen zu der Vorlagepflicht auf Seiten eines nationalen Gerichts, dessen Entscheidungen nicht mehr mit Rechtsmitteln des innerstaatlichen Rechts angefochten werden können, nicht im gleichen Maße im Rahmen der Vorlage von Vorabentscheidungsfragen in Bezug auf die Gültigkeit (siehe, in diesem Zusammenhang, EuGH, Große Kammer, 6. Dezember 2005, C-461/03, Gaston Schul Douane-expediteur BV, Randnrn. 15-19).