Enfin, bien que Pusan Bank n'ait pas été détenue par les pouvoirs publics coréens, elle ne s'en est pas moins vu intimer l'ordre, par la FSS, en 1999, de licencier ou de renvoyer son personnel d'encadrement et d'accroître son capital libéré de 86,2 Mio USD avant la fin de mars 2000 (23), «de réduire fortement son personnel, le nombre de succursales et d'organisations, tout en se débarrassant des filiales en mauvaise santé» (24). En l'an 2000, le FSS a sanctionné ses dirigeants anciens et actuels pour mauvaise gestion (25).
Obwohl die koreanische Regierung in keiner Weise an der Pusan Bank beteiligt ist, wurde die Bank 1999 dennoch vom FAD aufgefordert, ihre Führungskräfte zu entlassen oder zu ersetzen und bis Ende März das eingezahlte Kapital um 86,2 Mio. USD aufzustocken (23), „ihre Belegschaft, die Anzahl der Filialen und Organisationen radikal zu reduzieren und gleichzeitig angeschlagene Tochtergesellschaften abzustoßen“ (24). Darüber hinaus bestrafte der FAD frühere und derzeitige Führungskräfte der Bank wegen Missmanagement (25).