En effet, dès lors que la Commission avait constaté un bris de scellé sur la base d’un faisceau de preuves, le Tribunal a pu estimer, à juste titre, qu’il incombait à E.ON Energie d’apporter les preuves permettant de remettre en cause ce constat.
Da die Kommission aufgrund eines Bündels von Beweisen einen Siegelbruch festgestellt hatte, war das Gericht nämlich zu der Annahme berechtigt, dass es E.ON Energie oblag, Beweise vorzulegen, die diese Feststellung erschüttern konnten.