Les images de souffrance et de morts qui ne cessent, depuis trois semaines maintenant, de déferler sur nos écrans, sont insupportables, comme, j’ai envie de le dire, toutes les images de guerre, tous les conflits, y compris ceux dont on parle singulièrement moins, pour ne pas dire pas, le Congo, le Darfour, le Zimbabwe et, avant cela, la Tchétchénie dont les horreurs se sont déroulées dans un silence médiatique, et politique aussi, je tiens à le souligner, assourdissant.
Die nunmehr seit drei Wochen ununterbrochen über unsere Bildschirme laufenden Bilder von Leid und Tod sind unerträglich, genauso wie alle Bilder von Krieg, wie alle Konflikte, einschließlich jener, von denen – wenn überhaupt – viel weniger gesprochen wird, beispielsweise Kongo, Darfur, Simbabwe und davor Tschetschenien, deren Schrecken sich inmitten ohrenbetäubender Medien und – ich möchte betonen – politischer Stille zutrugen.