Et puis, je crois, qu’il faut avoir en tête de construire avec ces futurs pays pleinement démocratiques des relations de coopération pour que les Tunisiens puissent, de manière tout à fait légale, venir travailler, s’instruire et circuler, pour installer des vrais canaux de mobilité entre les deux rives de la Méditerranée.
Als Nächstes, glaube ich, müssen wir darüber nachdenken, mit diesen künftig voll demokratischen Ländern Kooperationsbeziehungen einzugehen, damit Tunesier völlig legal einreisen und arbeiten, studieren und reisen können, um echte Mobilität zwischen den beiden Ufern des Mittelmeeres zu schaffen.