En réponse à une proposition visant à ériger la prise d'otage, de façon explicite, en infraction, la ministre a ainsi précisé : « [...] la prise d'otage ne doit pas être reprise explicitement, étant donné qu'elle peut entrer dans la catégorie des actes visés à l'article 129, 1° et 2°, de la loi de principes. Il s'agit de : 1° l'atteinte intentionnelle à l'intégrité physique de personnes ou la menace d'une telle atteinte; 2° l'atteinte intentionnelle à l'intégrité psychique de personnes, ou la menace d'une telle atteinte » (Doc. parl., Chambre, 2012-2013, DOC 53-2744/004, p. 28).
In der Antwort auf einen Vorschlag zur ausdrücklichen Einstufung der Geiselnahme als ein Verstoß hat die Ministerin präzisiert: « [Die] Geiselnahme braucht nicht ausdrücklich aufgenommen zu werden, da sie zur Kategorie der Handlungen im Sinne von Artikel 129 Nrn. 1 und 2 des Grundsatzgesetzes gehören kann. Es handelt sich um: (1) den vorsätzlichen Anschlag auf die körperliche Unversehrtheit von Personen oder die Drohung mit einem solchen Anschlag; (2) den vorsätzlichen Anschlag auf die psychische Unversehrtheit von Personen oder die Drohung mit einem solchen Anschlag » (Parl. Dok., Kammer, 2012-2013, DOC 53-2744/004, S. 28).