À titre d’exemple, une étude récente[8] a conclu qu’en cas d’accident à une vitesse de 50 km/h, un freinage effectué une demi seconde plus tôt, diminuerait l’énergie provoquée par le choc de 50 %. Or, une analyse des accidents survenus en Allemagne a montré que 39 % des véhicules de tourisme et 26 % des camions ne freinent pas avant une collision et qu’environ 40% ne freinent pas efficacement ce qui met en évidence nos limites en tant que conducteurs.
Eine neuere Studie[8] ergab zum Beispiel, dass die Aufprallenergie um 50 % gesenkt könnte, wenn wir bei einem Unfall bei einer Geschwindigkeit von 50 km/h eine halbe Sekunde früher bremsen könnten. Jedoch zeigte eine Analyse von Unfällen in Deutschland, dass 39 % aller Pkw und 26 % aller Lkw vor einem Zusammenstoß überhaupt nicht und rund 40 % nur unzureichend bremsen, was unsere Grenzen als Fahrer aufzeigt.