En posant les deux questions préjudicie
lles, le juge a quo souhaite savoir si l'article 464/1, § 8, alinéa 5, du Code d'instruction criminelle (première question) et l'article 1675/13, § 3, premier tiret, du Code judiciaire (seconde question), sont compatibles avec les articles 10 et 11 de la Constitution, combinés avec le principe de confiance, en ce que de
s personnes dont la procédure en règlement collectif de dettes était toujours en cours au jour de l'entrée en vigueur de ces dispositions ne pour
raient plus, depuis ...[+++]cette date, obtenir une remise pour les dettes alimentaires et les amendes pénales alors que cette remise aurait été possible pour les personnes dont la procédure était clôturée avant cette date.Mit den beiden Vorabentscheidungsfragen möchte der vorlegende Richter erfahren, ob Artikel 464/1 § 8 Absatz 5 des Strafprozess
gesetzbuches (erste Frage) und Artikel 1675/13 § 3 erster Gedankenstrich des Gerichtsgesetzbuches (zweite Frage) vereinbar seien mit den Artikeln 10 und 11 der Verfassung in Verbindung mit dem Grundsatz des berechtigten Vertrauens, indem Personen, die sich am Datum des Inkrafttretens dieser Bestimmungen in einem Verfahren der kollektiven Schuldenregelung befunden hätten, seit diesem Datum keinen Erlass von strafrechtlichen Geldbußen und von Unterhaltsschulden mehr erhalten
...[+++] könnten, während dies für Personen, bei denen das Verfahren vor diesem Datum bereits beendet gewesen sei, wohl möglich gewesen sei.