En gros, les transferts sont inversement corrélés au revenu par habitant : la région de Lisbonne et de la vallée du Tage, qui est la plus riche, reçoit par habitant moins du tiers de l'allocation versée à l'Alentejo, la région la moins riche (Par rapport au PIB, les transferts représentent à peine 1% dans la première région contre 6% dans la seconde.)
Im Großen und Ganzen sind die Zuweisungen umgekehrt proportional zum Pro-Kopf-Einkommen: Lisboa e Vale do Tejo, die reichste Region, erhält pro Einwohner weniger als ein Drittel des Betrags, der in den Alentejo, die ärmste Region, fließt (in ersterer machen die Transferzahlungen knapp 1 % des BIP aus, im letzterer dagegen 6 %).