À mes yeux, ce débat met en lumière deux aberrations. Prem
ièrement, l’abjecte folie de l’UE, qui ne prend même pas le temps de réaliser une évaluation d’impact, fonçant tête baissée sur la voie d’une interdiction de nombreux produits phytopharmaceutiques, sans s’inquiéter de l’absence de substituts et des conséquences extrêmement néfastes de ces mesures sur la production agricole locale, notamment dans le secteur
des céréales et des légumes, et imposant de ce fait une dépendance croissante vis-à-vis des importations en provenance de p
...[+++]ays qui n’ont que faire de ces considérations.
Für mich betont diese Aussprache vor allem zwei Torheiten: zunächst die klägliche Torheit der EU, die, ohne auch nur eine Folgenabschätzung abzuwarten, zahlreiche Pflanzenschutzmittel verbietet, ungeachtet der Tatsache, ob es dafür Ersatzstoffe gibt und ungeachtet dessen, dass die einheimische Nahrungsmittelproduktion insbesondere auf dem Getreide- und Gemüsesektor drastische Einbußen erleiden muss, und uns damit weiter in die beständig wachsende Abhängigkeit von Importen aus Ländern treibt, die sich um solche Dinge gar nicht kümmern.