La disposition en cause « se borne à adapter la législation existante aux nécessités nouvelles résultant de la [loi sur le Pacte scolaire] » (Doc. parl., Chambre, 1958-1959, n° 199/1, p. 11); elle reprend le régime existant antérieurement qui « implique toujours un double consentement : celui du pouvoir organisateur et celui des chefs ou des représentants des cultes intéressés » (ibid., p. 12).
Die fragliche Bestimmung « beschränkt sich darauf, die bestehende Gesetzgebung den neuen Erfordernissen anzupassen, die sich aus dem [Schulpaktgesetz] ergeben » (Parl. Dok., Kammer, 1958-1959, Nr. 199/1, S. 11); darin wird die frühere Regelung übernommen, die « immer ein doppeltes Einverständnis voraussetzt: dasjenige des Organisationsträgers und dasjenige der Oberhäupter oder der Vertreter der betreffenden Kulte » (ebenda, S. 12).