L'importance des inquiétudes du public, la dérégulation et l'ouverture (dans la plupart des Etats membres) d'un marché jusqu'à m
aintenant sûr qui a conduit à des investissements à long terme à haute intensité en capital, associées à l'arrivée de gaz naturel au prix compétit
if utilisé dans des centrales plus petites, plus efficaces et moins coûteuses, constituent des facteurs essentiels qui selon les informations actuelles, rendent hautement improbable la poursui
te de la production nucléaire ...[+++] dans la plupart des Etats membres lorsque les centrales existantes atteindront la fin de leur durée de fonctionnement dans les années 2005 à 2010.
Die starken öffentlichen Bedenken, die Deregulierung und Öffnung eines (in den meisten Mitgliedstaaten) bislang gesicherten Absatzmarktes, der langfristigen und kapitalintensiven Investitionen durchaus zuträglich war, und das Aufkommen des zu konkurrenzfähigen Preisen angebotenen Erdgases, das in kleineren, effizienteren und preisgünstigeren Anlagen verstromt wird, sind entscheidende Faktoren, derentwegen die meisten Mitgliedstaaten aus heutiger Sicht wohl kaum weiter an der Atomstromerzeugung festhalten werden, wenn die bestehenden Anlagen nach dem Jahre 2005 bis 2010 allmählich ausgemustert werden müssen.