Si, dans le considérant C de la décision, nous nous référons aux trois arrêts, à savoir que les droits des personnes concernées à la libre circulation des travailleurs dans l’Union et leurs droits à ne subir aucune discrimination en raison de leur nationalité ont été lésés par les agissements de l’Italie, et si le médiateur et de nombreux orateurs le confirment encore ici, l’argument de l’un de mes prédécesseurs, selon lequel cette infraction peut être motivée par le principe de subsidiarité, n’est pas solide.
Wenn wir uns in Erwägung C der Entschließung auf die drei Urteile beziehen, dass nämlich die Rechte der betreffenden Personen auf Freizügigkeit von Arbeitskräften in der Union und ihre Rechte, keiner Diskriminierung aufgrund der Nationalität ausgesetzt zu werden, durch die Unterlassung Italiens verletzt wurden, und wenn das auch noch der Bürgerbeauftragte bestätigt und viele Debattenredner hier, dann ist das Argument eines meiner Vorredner, dass nämlich die Verletzung mit dem Subsidiaritätsprinzip begründet werden kann, nicht stichhaltig.