La réalité de la mondialisation et d’une Union européenne à 27 États membres impose une réflexion sur le devenir des instruments de l’«ancienne PAC» encore en vigueur (quotas, intervention publique, soutien des prix et restitutions, par exemple), compte tenu notamment des perspectives à moyen terme sur les marchés, particulièrement favorables dans les secteurs des céréales et du lait.
Die Realität der Globalisierung und einer EU mit 27 Mitgliedstaaten erfordert ein Nachdenken über die Zukunft der noch verbleibenden Instrumente der „alten GAP“ (Quoten, öffentliche Intervention, Preisstützung, Erstattungen etc.), vor allem in Anbetracht der derzeitigen mittelfristigen Marktaussichten, die speziell für Getreide und Milcherzeugnisse hervorragend sind.