Toutefois, les récentes manifestations d'étudiants universitaires et de parents d'élèves demandant l'introduction de cours de langue kurde dans le programme scolaire ont été durement réprimées par les forces de sécurité sous le prétexte que la langue kurde n'existe pas en tant que telle, que la seule langue nationale de la république est le turc et que les détenus qui sont toujours en prison le sont pour leur soutien supposé à l'organisation terroriste du parti des travailleurs du Kurdistan, bien connue sous le sigle du PKK.
Dennoch wurden unlängst die Kundgebungen von Studenten und Eltern von Schülern, die die Aufnahme von Kurdisch-Kursen in das akademische Studium forderten, von den Sicherheitskräften mit aller Härte unterdrückt, was damit begründet wurde, dass die kurdische Sprache als solche nicht existiere und die einzige offizielle Sprache der Republik das Türkische sei. Überdies wurde den Verhafteten die Unterstützung der terroristischen Organisation der Arbeiterpartei Kurdistans, bekannt unter der Abkürzung PKK, vorgeworfen.