Les travaux préparatoires relatifs à la loi du 18 juillet 1990, précitée, font apparaître que la limitation du droit à une contre-expertise sous la forme d'un prélèvement sanguin aux cas dans lesquels une analyse de l'haleine révèle une concentration d'alcool d'au moins 0,35 milligramme par litre d'air alvéolaire expiré s'explique par le fait que la loi prévoit des peines plus lourdes pour ces cas d'imprégnation alcoolique (Doc. parl., Sénat, 1989-1990, n° 967-2, p. 21).
Aus den Vorarbeiten zu dem vorerwähnten Gesetz vom 18. Juli 1990 ist ersichtlich, dass die Begrenzung des Rechtes auf eine Gegenexpertise mittels einer Blutprobe auf die Fälle, in denen eine Alkoholkonzentration von mindestens 0,35 Milligramm pro Liter ausgeatmeter Alveolarluft gemessen wird, auf der Uberlegung beruht, dass das Gesetz für diese Fälle der Alkoholintoxikation schwerere Strafen vorsieht (Parl. Dok., Senat, 1989-1990, Nr. 967-2, S. 21).