Dans les première et seconde branches du deuxième moyen, les parties requérantes allèguent notamment que l'article 44/5, § 6, de la loi sur la fonction de police et l'article 36ter, §
4, de la loi sur la protection de la vie privée, tels qu'ils ont été insérés par les articles 12 et 41 de la loi attaquée, ne sont pas compatibles avec le droit au respect de la vie privée, garanti par les normes de référence mentionnées en B.7, en ce que les
personnes dont les données sont traitées dans les banques de données policières n'auraient pas d
...[+++]roit d'accès aux données les concernant, n'auraient pas la faculté de faire rectifier ou effacer ces données et ne disposeraient pas davantage d'une voie de recours en la matière.Im ersten und im zweiten Teil des zweiten Klagegrunds führen die klagenden Parteien unter anderem an, dass Artikel 44/5 § 6 des Gesetzes über das Polizeiamt und Artikel 36ter § 4 des Gesetzes über den Schutz des Privatlebens, eingefügt durch die Artikel 12 und 41 des angefochtenen Gesetzes, nicht vereinbar seien mit dem Recht auf Achtung des Privatlebens, so wie es durch die in B.7 angeführten Referenznormen gewährleistet werde, da die Personen, deren Daten in den polizeilichen Datenbanken
verarbeitet würden, kein Recht auf Zugriff auf die sie betreffenden Daten hätten, nicht die
Möglichkeit hätten, ...[+++]diese Daten berichtigen oder löschen zu lassen, und diesbezüglich ebenfalls nicht über ein Rechtsmittel verfügten.