En ce qui concerne la France, l’avocat général considère que le fait qu’un service de l’opérateur historique, la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), la Direction des Circulations Ferroviaires (DCF), agisse pour le compte du Réseau ferré de France (RFF), lequel garde l’entière compétence pour arrêter le plan des horaires et l’attribution des sillons individuels, n’est pas suffisant pour valider le système français.
In Bezug auf Frankreich ist der Generalanwalt der Ansicht, dass die Tatsache, dass mit der Direction des Circulations Ferroviaires (DCF) eine Dienststelle des traditionellen Unternehmens, der Société nationale des chemins de fer français (SNCF), im Auftrag des Réseau ferré de France (RFF) handelt, der für die Festlegung des Fahrplans und die Zuweisung einzelner Trassen allein zuständig bleibt, nicht ausreicht, um dem französischen System zu Gültigkeit zu verhelfen.